Kenya’s bus fleets want to go electric, but manufacturers can’t meet demand
lundi 30 décembre 2024 :: perrick :: Notes :: aucun commentaire :: aucun trackbackJ'adore glaner des petits signes en lien avec des lectures plus ou moins récentes. Cette fois dans un article étonnant sur le marché du bus électrique au Kenya.
Il y a pour commencer une tension sur les capacités de production qui ne ferait pas démentir David Baverez (Bienvenue en économie de guerre de 2024) : ce n'est plus la demande qui fait évoluer les marchés mais bien l'offre.
The groups that run the country’s public bus transport — savings and credit cooperatives, called SACCOs — are trying to increase the number of EV buses on the roads — but the supply has not kept up. Industry experts believe the lack of capital available to the few local startups making EV buses, such as BasiGo, and high tariffs on imports of electric buses are responsible for the supply shortage.
Et puis un peu plus loin, un petit clin d'oeil à Jane Jacobs qui avait identifié le vélo comme chemin de l'industrialisation pour le Japon au début du XXe siècle dans son Cities and the Wealth of Nations, publié pour la première fois en 1984.
Roam predominantly makes EV bikes and only recently expanded into building buses. They’ve built four buses so far and sold two of them at full cost for 20–26 million Kenyan shillings (up to $200,000), Felix Eningsjö, a regional sales executive at Roam, told Rest of World.
L'électrification ne sera pas un long chemin tranquille vers une économie plus sobre !