La France a un gros handicap : la puissance de ses institutions
lundi 13 février 2017 :: perrick :: Connexe(s) :: aucun commentaire :: aucun trackbackDe temps en temps, je découvre une phrase qui percute. Parce qu'elle va au contraire de la vulgate du moment et parce qu'elle fait écho à un sentiment diffus qui se dissipe grâce à elle.
Cette fois donc, elle est écrite par Geneviève Bouché (futurologue) dans sa dernière publication : Bien voter – la transition démocratique. Disponible en Creative Commons, cette note a le mérite de poser de bonnes questions pour les échéances électorales du moment bien sûr mais surtout pour le futur que nous pouvons souhaiter. Surtout si on veut s'épargner la bonne guerre, celle qui remet tous les compteurs à zéro (ou presque).