Comment j'ai failli quitter Opera

Plein de confiance dans cette boite norvégienne, j'ai directement effectué la mise à jour dans mon répertoire d'Opera. Tout se passe bien : les bookmarks sont récupérés, de même pour l'historique et les mots de passe dans la "baguette magique". Par contre au niveau de l'interface, c'est la catastrophe. De simple et directe :



l'interface devient redondante et encombrée :



Les boutons de navigation sont doublés, les icônes sont très inégales (et même moches pour certaines), le panel -- avec "signets", "liens", "mail", etc. -- ne disparaît pas en appuyant sur F4, la surface disponible pour la page web s'est considérablement reduite... Et les commentaires pas très élogieux se multiplient dans la blogosphère : Preference Personnelle ou Adot's Notblog* par exemple. Heureusement d'autres restent enthousiastes, graphicPUSH parmi ceux-là.

En deux temps trois mouvements, je reviens en arrière avec Opera 7.23 qui s'installe sans soucis -- ou presque -- sur Opera 7.5 : c'est tellement rare un compatibilité montante !

Quelques jours plus tard, je recommence l'installation et après quelques longues minutes, j'ai enfin réussi à retrouver une configuration proche de l'idéal :



Il me reste encore quelques retouches à faire. Mais le principal est là. Je vais enfin pouvoir tester le RSS feed reader incorporé et les dernières nouveautés.

Toute cette phase d'installation / désinstallation / ré-installation répond comme en écho à mon post sur l'interface d'openTIME. Ce n'est effectivement pas évident de faire une interface simple et efficace, même après 7 versions. Et surtout une maxime à retenir avant de faire mieux, il faut toujours d'une version à l'autre faire aussi bien. C'est pour ça que toutes les options d'openTIME sont par défaut masquées lors d'une mise-à-jour automatique.