Note périmétrique X : graver une façade, déjà fait en 1866, encore faisable en 2021 ?
jeudi 15 avril 2021 :: perrick :: Quarantaines :: aucun commentaire :: aucun trackbackLes travaux d'Ann Sussman nous invitent à mesure l'impact de la Première Guerre Mondiale sur la santé mentale des architectes qui nous ont amenés la "modernité" avec son cortège de béton brut et de verre abrupt.
One reason modern architecture looked so different than past constructions was because its key 20th century founders literally didn’t see the world in a “typical” fashion. They couldn’t. Their brains had been either physically altered by the trauma of war or, like Le Corbusier, they had a genetic brain disorder. And while their recommendations for “good design”—a new world, a clean slate—certainly reflected their talent, ambition, and drive, their remedies also reflected their brains’ specific disorders.
Et si de méga-imprimantes 3D permettent de construire des maisons à la demande, le plus souvent la promesse est de faire vite, efficace et lisse. Pas forcément beau. Alors qu'il exite pourtant un autre type de machines-outils capable de faire des trous et des creux : le centre d'usinage CNC de pierre, qu'on trouve en mode table ou en version portable.
Alors on peut recommencer à rêver aux décorations et ornements qui reposent le regard et l'invitent à voyager tranquillement sur une façade, en quête d'une porte ou d'une fenêtre, gages d'une conversation ou d'un échange.
Les ouvriers de 1866 étaient déjà capables de telle prouesses.
Et que dire de la délicatesse d'avoir reproduit le même motif en bas-relief au dessus de la porte d'entrée. Merci M. Émile Vandenbergh et ses équipes.
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